Réflexions, spiritualité, coups de coeur... Poète et prophète sévissant sur Internet, le Moineau se réclame du Christianisme social et du Carrefour de Chrétiens Inclusifs, et ne demande l'autorisation de personne pour proclamer la bonne nouvelle de l'amour de Dieu révélé en Jésus Christ pour tous et toutes sans exception.

mercredi 22 juillet 2009

Long week-end, fête nationale, cours de drague et feu d'artifice.

Un long week-end tranquille, flaneries, petits plaisirs, du soleil et de la bonne compagnie. Mais je n'aurai guère avancé dans mon roman, c'est le moins qu'on puisse dire!

Samedi, j'ai mis un peu d'ordre dans l'appart' avant de prendre le train pour aller à la campagne retrouver mon frère et son épouse : nous avons joué au whist samedi soir avec le frère de A., puis dimanche avec sa soeur. Nous avons également joué aux Colons de Catane, puis essayé des jeux de société lego, dont un assez rigolo où le dé se construit en cours de partie...

Dimanche soir, pur moment de plaisir ciné avec A., A. et I. : nous allons voir "Harry Potter and the Half-Blood Prince" puis prenons un verre en discutant notamment de drague, un sujet qui ne s'impose pas, même si nous y sommes portées assez naturellement par les mésaventures de Ron et des autres sorciers adolescents dont les phéromones s'agitent en tous sens.

Lundi, après une petite grasse matinée, je passe l'après-midi et la soirée chez A., où nous nous amusons en préparant les vacances : nous réservons des chambres dans un hôtel à Québec qui a l'air fort confortable, et dans un B&B design à Toronto. Les vacances se rapprochent... Je termine la soirée par une promenade au Bal National (où je me dis que, décidément les crooners flamands sur fond de boudin-compote, ce n'est pas mon truc) puis un verre au Mezzo (soirée Girly Mondays) avant d'attraper le dernier métro.

Mardi... Mardi, j'avais prévu d'écrire, de m'immerger dans ce fichu roman qui n'avance pas. Mais une fois de plus, les effets conjugués du soleil et de ma paresse naturelle ont agi. Entre une nouvelle grasse matinée, une papote avec A., la poursuite de la recherche des B&B canadiens, une rêverie sur les homards du Maine, un peu de lecture au soleil, et le feu d'artifice (celui de la Place des palais, éblouissant, comme toujours, puis, sur le chemin du retour, celui de Saint Josse, plus modeste mais bon enfant), j'aurai en tout et pour tout écrit trois maigres (et mauvais) paragraphes.


Pas vraiment un week-end d'écrivain, tout ça, mais un week-end bien agréable, alors, que demande le peuple?



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