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De la mémoire,
viennent griffer la douceur de cette ombre qu'on n'attend qu'à demi
toutes mes blessures d'enfance
Je prends recroquevillée une corde
pour pendre mes illusions à la poutre d'escampette
ou est-ce à la paille de ton oeil que je voudrais me pendre?
J'ai parfois la posture des vestales velues
et trop toujours
le même silence qui hésite au bord du cri.
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mardi 27 octobre 2009
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1 commentaires:
J'aime ça ! C'est insondable. Mérite d'être relu. Et avec quelques jolis jeux de mots. Que demander de plus ?
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